État des lieux
Objectif -50% de tués en 2027 vs 2017 :
Avec la mobilisation de tous, c’est possible !
La question de l’acceptabilité d’une politique de sécurité routière comme condition de réussite est posée.
Quelle acceptabilité?
L’acceptabilité politique qui va dépendre des pressions exercées par les lobbys sur les politiques;
L’acceptabilité professionnelle avec les professionnels qui vont exercer une résistance;
L’acceptabilité sociale qui va avoir les défauts du sondage d’opinion dont les réponses sont conditionnées par la forme des questions et l’information à laquelle les sondés ont accès.
Comment définir une politique qui va réussir?
Maître de conférences en science politique, université Paris-Est Créteil (UPEC)
Domaines de recherche
– Analyse comparée des politiques de sécurité, de sûreté et de mobilité
– Gouvernance et instruments de l’action publique
– Transfert et circulation des savoirs de gouvernement
Publications (sélection)
Ouvrages et chapitres
– 2014. (avec Anne Kletzlen), « Retour vers le futur ! : les transformations de la politique française de recherche en sécurité routière sont-elles déjà advenues Outre-manche ? » dans Jérôme Aust et Cécile Crespy (dir.), La recherche en réformes. Les politiques de recherche entre Etat, marché et professions, Paris, Editions des Archives Contemporaines, pp. 25-54.
– 2012. (avec Chloé Eyssartier), “Le contrôle automatisé en Loire-Atlantique : discussions croisées de professionnels et de non-professionnels de la sécurité routière ” dans Hugues Cunegatti, Charles Suaud (dir.), La sécurité routière. Enjeux publics et société civile. Une formation au radar, L’Harmattan (coll. Logiques sociales), pp. 189-224.
2011. « De la réglementation à la délibération. Les réponses gouvernementales à l’usage du téléphone au volant », chapitre 7 de l’expertise collective INSERM, Téléphone et sécurité routière, Les collections de l’INSERM, pp. 121-140.
2008. (dir.), Les radars et nous. Regards croisés sur l’acceptation du contrôle automatisé des vitesses par les Français, Paris, L’Harmattan, coll. « Logiques sociales », 296 p.
2006. (avec Laurent CARNIS et Vincent SPENLEHAUER), Les polices de la route : une approche comparée (Etats-Unis, Australie et Nouvelle-Zélande), Les collections de l’INRETS, n°269, Paris, 147 p.
Articles de revue
– 2014. (avec Jean-Luc Bruyelle et al.), « Improving the resilience of metro vehicle and passengers for an effective emergency response to terrorist attacks », Safety Science, 62, pp. 37-45.
– 2013. (avec C. Eyssartier), “Police officers and professional road users: the impact of automatic speed cameras on the social representation of the job”, International Review of Social Psychology, 26-3, pp.207-229.
– 2013. (avec Vincent Spenlehauer), “ Managing to Reinvent Strong Publicness in a Privatized World », in Public Organization Review [mis en ligne le 31 mai]
– 2010. “Renewal of Public Policy via Instrumental Innovation. The Implementation of an Automated Speed Enforcement System in France”, Governance : An International Journal of Policy, Administration and Institution, 23-3, july, pp. 509-530.
– 2010. « Les polices des transports face aux défis croisés de la mobilité, de la sûreté et de la sécurité », Flux, Cahiers scientifiques internationaux Réseaux et territoires, n°81, juillet-septembre, pp. 46-56.
– 2007. (avec Vincent SPENLEHAUER), « Les faux-semblants de la privatisation en Grande-Bretagne. L’exemple de la police des chemins de fer », Revue Politiques et Management Public, vol. 25, n°3, septembre, pp. 115-130.
– 2006. « Les naissances d’une police. Comment la police de la route est devenue une institution légitime aux Etats-Unis », Genèses : sciences sociales et histoire, n°63, juin, p. 88-107.
– 2003. « Le combattant et le technocrate : la formation des officiers à l’aune du modèle des élites civiles », Revue française de science politique, 53 (3), juin, p.435-464.
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